« Avec tout ce qui sâest passĂ© au Niger notamment les sanctions, certes, illĂ©gales mais draconiennes qui ont touchĂ© jusquâau produits pharmaceutiques (âŠ) La CĂ©deao en tant que structure, nâa aucune possibilitĂ© pour exiger quoi que ce soit dans sa [Mohamed Bazoum] libĂ©ration. Celui qui a les cartes pour jouer les bons offices câest le prĂ©sident togolais par ce que son pays nâa jamais voulu appliquer les dĂ©cisions inhumaines, illĂ©gales⊠», a indiquĂ© Issoufou Yahaya, historien et politologue nigĂ©rien mais aussi spĂ©cialiste de dĂ©fense et de sĂ©curitĂ©. Il est lâinvitĂ© de la rĂ©daction et rĂ©pond aux questions de Bruno Bayala.