Le prélèvement de 1 % sur les émoluments des employés, tant du secteur public que privé, demeure au centre des discussions prédominantes. Selon les dires de Roselyn Ouédraogo, juriste-fiscaliste, les citoyens burkinabè démontrent une disposition à soutenir financièrement l’effort de guerre ; pour autant qu’une gestion transparente des fonds soit assurée et qu’un état des lieux des sommes collectées soit formellement dressé et mis à la disposition des populations.
Roselyn Ouédraogo répond aux questions de Bruno Bayala.