« La communication, elle est importante en temps de guerre parce qu’autant les militaires se battent sur le terrain pour conquérir des territoires ou pour détruire l’ennemi, autant il faudrait que la communication suive pour que les actions militaires soient bien comprises et bien acceptées.
C’est vraiment deux choses qui doivent aller de pair : comment la communication est menée dans la lutte contre le terrorisme (…) L’information doit être utilisée comme une arme de guerre contre les terroristes. On s’est rendu compte que dans le cas du Burkina, les journalistes sont beaucoup stigmatisés. Les journalistes sont accusés souvent d’être des apatrides, ne pas accompagner assez le gouvernement, donc ça fait que le journaliste burkinabè de façon générale, vit dans la peur » explique Moussa Sawadogo, expert médias, enseignant en journalisme)
Il est l’invité de la rédaction et répond aux questions de Bruno Bayala.
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