« Quand on prend par exemple la préparation physique au Burkina Faso, il faut se dire la vérité, il n’y a pas assez de clubs qui connaissent l’importance d’un préparateur physique. D’abord tous les clubs n’en ont pas (…) Il faut dire que nous ne sommes pas encore arrivés à un niveau où les préparateurs physiques sont rémunérés de sorte à ce qu’ils puissent vivre de ça(…) Aujourd’hui quand vous prenez un athlète les meilleurs sont à plus de 14km dans un match de football…» a indiqué Seydou Belem, spécialiste des activités physiques et sportives et arbitre FIFA.
Actualité oblige, l’enseignant en éducation physique et sportive au ministère des sports se prononce également sur les blessures enregistrées au cours de la CAN, dont celle du milieu de terrain burkinabè Adama Guira qui n’a pas terminé la compétition. Seydou Belem est l’invité de la rédaction et répond aux questions de Brigitte Yoda.
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