🔴 »2024 sera le point final de l’insécurité dans notre pays » (Bassolma Bazié)

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Face à la jeunesse de pouytenga dans la région du Centre-Est, dans le cadre l’inauguration d’une agence de Sank Money, le Ministre d’État, ministre de la Fonction publique, Bassolma Bazié a affirmé, ce samedi 20 Avril 2024, que  » l’année 2024 sera le point final de l’insécurité au Burkina Faso ».

La situation sécuritaire que traverse le Burkina Faso depuis près de 9 ans, a impacté négativement, le vivre ensemble, la cohésion sociale et la paix dans cette localité. Bassolma Bazié, fonde l’espoir que le Burkina Faso boutera hors de son territoire, les groupes armés terroristes qui y sèment la terreur depuis 2015. Et selon le ministre, cela se fera en cette année de 2024.

« Voilà pourquoi que le president capitaine Ibrahim Traoré avec toute l’équipe gouvernementale, nous avons pris la décision, qu’il pleuve ou qu’il neige, avec la force de Dieu et l’accompagnement de des mânes de nos ancêtres, 2024 sera le point final de l’insécurité dans notre pays » a-t-il fait savoir.

Pour y arriver, le ministre précise que, ça ne sera pas un travail du gouvernement seul, mais l’action conjuguée des fils et filles de ce pays. Et il les invite alors à l’union pour la libération effective de leur partie.

« (…) Nous ne disons pas seulement parce que c’est seulement le gouvernement qui va travailler. Nous le disons parce que nous faisons confiance à chacun des fils et à chacune des filles de ce pays. Faisons en sorte que dans Cinq ans, dix ans , vingt ans, la génération actuelle puisse être très fière de dire que le pays à traverser des difficultés, et voilà ce que nous avons fait pour que le pays ne puisse pas s’incliner, encore moins tomber », a précisé Bassolma Bazié.

Les ministres du gouvernement actuel sont « des ministres d’action et non des ministres de bureau », a ajouté le ministre Bazié. Et pour cela ils doivent répondre présent là où le devoir les appelle, car pour lui, aucun centimètre carré du territoire Burkinabè, ne doit être oublié.

« (…) Le capitaine ne nous a pas appelés pour venir s’asseoir à côté de lui dans une fraîcheur. Il nous a appelés pour rentrer dans le feu. Et quand on doit rentrer dans le feu, même si c’est à 2 heures ou 3 heures du matin, quand on appelle sur un point du Burkina, tu dois répondre présent. On répondre présent parce que nous avons dit qu’aucun centimètre carré du pays ne doit être mis de côte. Nous ne sommes pas nommés pour être des ministres de Bureau. Nous avons été nommés pour être des ministres d’action » , a clarifié, le ministre d’État.

Le ministre de la Fonction publique a saisi l’occasion pour inviter, chaque burkinabè au partage de ses compétences.

Ibrahim Niaoné / Oméga Médias

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