Programme d’entrepreneuriat communautaire : un projet « salutaire », selon l’opérateur économique Djanguinaba Barro

0
1991

Porté par l’agence pour la promotion de l’entrepreneuriat communautaire (APEC), le programme de l’entrepreneuriat communautaire par actionnariat populaire continue d’enregistrer de nouveaux souscripteurs.

L’opérateur économique et ancien président de la chambre de commerce section territoriale des Hauts-BassinsDjanguinaba Barro a souscrit à ce projet, en présence des représentants de l’agence pour la promotion de l’entrepreneuriat communautaire (APEC).

Depuis son domicile situé dans l’un des quartiers de la ville de Bobo Dioulasso, l’opérateur économique, carte nationale d’identité et stylo en main, à apposer sa signature sur la fiche de souscription. Il s’est également entretenu avec la délégation de l’agence pour la promotion de l’entrepreneuriat communautaire (APEC) et les membres de la Société Coopérative bâtir L’avenir (Scoop-Ca).

entrepreneuriat communautaire
L’opérateur économique Djanguinaba Barro ( en boubou blanc) en train d’apposer sa signature sur le formulaire de souscription, en présence des représentants de l’APEC

Djanguinaba Barro estime que c’est un projet salutaire. « Cette initiative vient à point nommé d’autant qu’elle va résorber un tant soit peu le manque d’emploi tant chez les commerçants, jeunes et femmes », a-t-il indiqué.

Il a également prodigué des conseils pour la gestion de ce projet. « Tout ce que nous demandons, c’est qu’ils prennent des gens de bonne foi pour le pilotage du projet », a-t-il déclaré.

L’adhésion l’opérateur économique Djanguinaba Barro à ce projet est significative, selon le Directeur général de l’APEC Karim Traoré.

« Nous sommes justement à Bobo pour la pose de la première pierre de l’usine de transformation de tomates, et le patriarche El Hadj Barro nous a fait honneur en nous recevant chez lui pour poser un acte fondamental », a souligné Karim Traoré.

Le programme de l’entrepreneuriat communautaire par actionnariat populaire vise entre autres la création d’un million d’emplois directs en deux ans, et faire du secteur privé le véritable moteur de la croissance économique au Burkina Faso.

Dramane Sidibé/Oméga médias Bobo Dioulasso

Laisser un commentaire