BSL communication a procédé vendredi 10 mars au lancement de la 3e édition du festival de la jeunesse qui se tient du 11 au 12 mars 2023 à de canal Olympia Ouaga 2000.
« Promouvoir l’entreprenariat et la cohésion sociale au Burkina Faso », c’est le thème de cette troisième édition du Festival de la jeunesse. Plusieurs activités sont prévues. Il s’agit entre autres du prix de la meilleure Start up, d’une session de formation en entreprenariat au profit des jeunes, des séances de coaching et la présentation des projets innovants.
Des innovations ont été introduites dans cette troisième édition du festival de la jeunesse, selon le PDG de BSL communication Hugues Gouba plus connu sous le pseudonyme artistique de Huguo Boss.
« La particularité de ce festival est que l’entrée est conditionnée par un pass digital. Aujourd’hui ce sont des pass digitaux avec le festival de la jeunesse 3e édition ; et aussi nous avons mis l’accent sur le volet de l’éducation avec la signature des conventions avec les écoles et universités, afin de permettre à ces élèves et étudiants de venir apprendre et bénéficier des prestigieux conseils des modèles inspirants« , a-t-il indiqué.
Outre ces innovations, une convention avec trace academia a été signée et la jeunesse pourra bénéficier des formations qualitatives qui lui permettra d’avoir des certificats, a ajouté le PDG de BSL communication.
Au cours de ce festival, des jeunes entrepreneurs sont en lice pour le meilleur Start up de l’année. Pour l’occasion, sur 30 dossiers, 5 entrepreneurs sont retenus pour la finale. Et le meilleur repartira avec la somme de 1 million de FCFA et bénéficiera d’un coaching.
La sélection va être faite sur plusieurs critères à en croire le président de jury Hamed Kadiogo .« Le critère le plus important c’était l’innovation parce que ce qui est important pour nous c’est la plus-value que les entreprises pouvaient apportées, par ce qu’il ne s’agit pas de créer une entreprise, lorsqu’on crée une entreprise c’est la valeur ajoutée qui fait la différence avec les autres c’était d’abord le premier élément : l’innovation. Et nous avons également jugé de la motivation des prometteurs, parce qu’il est important de créer une entreprise mais aussi il est utile de voir est ce que le prometteur a la capacité de voir est ce qu’il a le vouloir faire pour mener son entreprise à son terme. Et ça été essentiellement ces deux critères que nous avons mis en avant. Est ce que ces différents start up là ont dans leurs stratégies une forme de digitalisation de leur activité ça été également pris en compte dans nos critères de sélection», expliqué le président du jury.
En plus de cela des stands d’expositions, des prestations d’artistes sont prévus à cette 3e édition.
Yasmine Hebie , Sylvie Koumtar
