Une nouvelle marque burkinabè 100% électrique émerge dans le secteur automobile. ITAOUA, c’est le nom de cette marque qui compte s’imposer grâce à une stratégie d’innovation technologique. Lundi, lors d’une soirée glamour marquée par la présence du ministre du Commerce, Serge Poda, la marque a procédé à l’ouverture de son premier showroom à Ouagadougou.
La mobilité verte est désormais une réalité au pays des hommes intègres avec les véhicules ITAOUA. Les responsables d’ITAOUA ont présenté quelques modèles de leurs véhicules 100% électriques, notamment l’ITAOUA Native et l’ITAOUA Sahel. Avec une autonomie comprise entre 200 et 330 kilomètres, ces véhicules, selon les promoteurs de la marque, sont des produits d’innovation technologique fonctionnant exclusivement à l’électricité.
« Nos véhicules sont 100% non carbonisés, ne dégageant ni carbone ni CO2, ce qui nous permet de véritablement dire que nous sommes dans une stratégie de préservation de l’environnement, que nous sommes écolo dans une mobilité durable », a indiqué Alpha Kafando, directeur général adjoint d’ITAOUA.
Le nom « ITAOUA », inspiré de la langue mooré, signifie « les maisons de devant », pour évoquer la vision futuriste de la marque. Le ministre du Commerce, Serge Poda, qui a présidé cette soirée de lancement, invite les Burkinabè à adopter cette marque, qui participe au développement socio-économique du pays.
« En choisissant ITAOUA, vous ne choisissez pas seulement un moyen de transport, vous choisissez une vision, un mouvement vers une mobilité durable. Vous devenez partie intégrante d’une communauté qui valorise l’innovation, la qualité et le respect de notre environnement. Chaque fois que vous prendrez le volant d’un véhicule ITAOUA, vous participerez à une aventure collective : celle de construire un Burkina Faso plus vert et plus prospère », a déclaré le ministre Serge Poda.
La société ITAOUA, selon ses responsables, souhaite s’imposer sur le marché burkinabè de l’automobile grâce à une stratégie d’innovation technologique. Ils annoncent également la réalisation d’une usine d’assemblage au Burkina Faso pour l’avenir.