« (…) Si dans lâabsolu le mouvement du 24 janvier dernier est illĂ©gal, et peut-ĂȘtre rĂ©prĂ©hensible au regard des principes chers aux Nations Unies et Ă la communautĂ© internationale dans son ensemble, nous pensons que cette interruption de lâordre constitutionnel, au regard de ce qui prĂ©valait, Ă©tait nĂ©cessaire et indispensable », (Damiba Ă lâONU)