« Aujourd’hui il faut avoir beaucoup de pensées pour les Burkinabè qui souffrent dans leur âme et dans leur chair du fait de l’insécurité. Concernant les zones d’intérêt militaire, nous allons déplacer nos populations en leur disant que ce sont des zones d’intérêt militaire. Mais les complices qui sont avec ces populations, nous avons quel moyen pour s’assurer que nous n’allons pas nous-mêmes les aider, ces gens-là à se transporter dans des zones où ils vont aller agresser nos populations ? », s’est interrogé Alkassoum Maiga Enseignant-chercheur, ancien ministre et porte-parole du gouvernement déchu de Roch Kaboré. Il est l’invité de la rédaction et répond aux questions de Denis Zoungrana
