URGENT Burkina «…face à toutes ces tragédies et à ces actes de mal gouvernance, le pouvoir tente de museler les médias par des suspensions et des menaces. L’opposition politique tient à relever que les médias ne sauraient être tenus pour responsables de la dégradation de la situation sécuritaire au Burkina Faso », (Eddie Komboigo, chef de file de l’opposition).