Burkina : Présidentielle 2020 : «Nous avons tiré leçon de toute ces erreurs et nous nous sommes dit qu’il faut repartir du bon pied» (Eddie komboïgo)

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Radio Omega : alors dites-nous pourquoi est-ce que c’est vous le futur président du Faso ?

Eddie KOMBIGO : ça c’est simple nous nous sommes dit au CDP qu’après les événements du 30 et 31 octobre fallait faire un diagnostic, analyser, tirer des leçons de la vie politique de la nation et faire en sorte que si nous avons une meilleure offre, une offert à faire sa soit une offre de qualité, une offre de meilleure gouvernance. Vous savez que le Burkina vient de loin depuis les années 60 en passant par les années 80, les années dites révolutionnaires, ensuite le multipartisme des années 90. Notre partie a eu la chance d’avoir gérer, gouverner le pays pendant 27 ans avec que le président blaise Compaoré. Nous avons apporté beaucoup de choses à la nation mais nous avons également commis des erreurs. Nous avons tiré leçon de toutes ces erreurs et nous nous sommes dit qu’il faut repartir du bon pied. Erreur peut être n’allais pas être insanctionnés par l’ensemble du peuple puisque nous ne croyons pas totalement, seule ceux qui n’agissent pas ne commettent pas des erreurs. C’est pourquoi en 2015, nous avons voulu reconquérir le pouvoir malheureusement par une loi scélérate nous avons été exclus. Malgré le fait que, la CEDEAO, la justice de la CEDAO nous est donnée raison certains politiciens, pour ne pas dire politicistes ont voulu coute que coute exclure le CDP. Mieux ils avaient pensé que le CDP était mort mais vous savez le CDP regorge de beaucoup de ressources humaines de qualités, de haut niveau, d’une expérience certaine qui ont compris qu’il fallait mettre le plus jeune devant et encadrer, et pousser vers la réussir. Nous avons une nouvelle génération qui vient avec de nouvelle idée, une nouvelle vision que nous avons appelé le nouveau pacte social c’est ce qui nous amène à revenir au pouvoir surtout après l’analyse pendant les cinq ans de pouvoir changement que nous avons connu avec le gouvernement MPP, le changement qualitatif   tant attendu n’est pas au rendez-vous. Nous pouvons dire que sur le plan politique c’est un échec, les burkinabés se regardent toujours en chien de faïence nous avons vu une vrai réforme politique nous avons attendu une nouvelle constitution qu’ils sont prôner qui n’a pas été votée , sur le plan politique également , nous connaissons aujourd’hui une guerre qu’on appelle une guerre asymétrique , une guerre  dont on connait même pas qui nous attaque puisqu’on les appelle jusque aujourd’hui des hommes armés non identifiés est c’est triste pour un gouvernement si vous savez pas pourquoi on vous attaque dans une pays et vous connaissez toujours des gens qui perdent la vie ,il fait changer de stratégie . Sur le plan économique, comme on l’a si bien dit tout s’écoule les grands agréages macro-économiques ne sont pas respectés, les agréages préconisés par l’UEMOA, La CEDEAO, les agréages macroéconomiques préconiser par l’institut de commerce inter-extérieure ne sont pas respecter. Sur le plan financier, nous ne respectons aucun critère de convergence au niveau de l’UEMOA afin de conforter notre monnaie. Sur le plan investissement structurel nous n’avons rien trouvé. Tous ce qui a été réaliser en matière d’infrastructures routières a été fait sur la base des recettes collectées par l’ancien régime. Nous n’avons pas vu le PNDS se réaliser et donc on ne peut pas laisser faire un pays sans paix, avec une économie qui tombe et certainement une conséquence sur l’aspect social. Les conséquences sont purement sociales, vous avez vu la conséquence je vous l’ai fait voir toute suite sur la gouvernance sociale. Pendant cinq ans, en moyenne 250 jours de grève par ans, c’est tôt pour un Burkina qui connaissais une croissance quasiment à deux chiffres, on est tombée a moins de 5% de croissance.

Radio Omega : vous avez répondu en amassant aux différents aspects sur lesquels on va revenir. Aujourd’hui, dite nous monsieur Komboigo au village le paysan a quelle raison pour voter pour vous ? qu’est ce qu’il peut attendre de vous ?                      

      Eddie KOMBIGO : je vais vous dire tout de suite. Lorsque vous regardez la politique agricole qui a été entreprise par le président Blaise Compaoré avec son premier programme de la société d’anacarde vous avez vu que nous avons mis l’accent sur la recherche, la semence ce qui donnait forcement une productivité constante. Je vais prendre quelques exemples au moment où Salif DIALLO était ministre de l’agriculture impulsé par la politique du président Blaise Compaoré, au nord on cultivait des patates, la pomme de terre. Vous avez sur un hectare environ une productivité d’une tonne par hectare. Et par les fruits de la recherche nous en sommes arrivées à 30 tonnes par hectares. Sur le plan cultures du coton, nous sommes passe du troisième rang au premier rang avec une production de six cent mille tonnes malheureusement toute la chaine de production industrielle de transformation du coton sur le plan local n’a pas été faite ce qui fait que nous ne dégageons pas une valeur ajouter donc le produit national brute, le prix intérieur brute ne s’est pas accru. IL aurait fallu que tout la chaine soit remplie et a ce moment on aurait un PIB assez important, un chômage réduit parce que les burkinabè aurait été employé. Sur le plan recherche, déjà vous savez que nous importons beaucoup de riz aujourd’hui une grande quantité et ça déséquilibre notre balance commerciale. Nous avons entreprise de grands chantiers de culture de riz, de riz qu’on appelle le riz local, qui est très riche en vitamine par rapport au riz importer ailleurs se sont des vieux stocks de près de 10 ans que l’on vend dans nos pays, qui nous rend malade et tous cela nous expliquons aux paysans qu’avec notre retour les choses améliorions. Depuis le départ de Blaise Compaoré toute ces politiques ont été abandonnée tous simplement parce que l’on veut présenter l’homme comme étant la source du problème du Burkina. ILS se sont présenter comme étant la solution mais on s’est rendu compte que c’est eux les vrais problèmes c’était Roch Marc Christian Kabore et son parti le MPP et nous vivons tous l’enfer aujourd’hui au Burkina, on ne peut pas laisser poursuivre cette politique-là. Ces pourquoi le paysan est déjà convaincu que le meilleur parti, il a déjà donné…….. Entre la politique agricole mener par le président Blaise Compaoré et celle mener par le président Roch Marc Christian Kabore. Le paysan choisira forcement ce que Blaise Compaoré faisait et comme nous sommes une continuité d’une politique de blaise Compaoré mais une politique améliorée tirant les enseignements des erreurs. 

     Radio Omega : Monsieur le président, entre la politique agricole du président Compaoré et la votre qu’est ce qui va changer ??   

Eddie KOMBIGO : après la confortation, nous allons d’abord conforter la productivité comme je l’ai dit temps tôt, une fois que la productivité sera acquise. Nous allons améliorer la transformation de ces produits agricoles de sortes que ça soit distribué dans les quarante-cinq provinces. Nous avons des cantines, amener les burkinabés a consommes ce qu’ils produisent ça veut dire que c’est une richesse interne qui profites au burkinabés plutôt que de se tourner vers l’importation de ces produits. Un pays qui n’atteint pas l’autosuffisance alimentaire ne peut pas espérer se développer et c’est pourquoi nous avons placé l’agriculture également parmi la priorité de notre programme que je vous suis certainement distribuer depuis trois mois. Vous n’êtes pas revenu m’interroger parce que vous ne croyiez pas que je serai candidat en 2020 aujourd’hui vous vous précipités pour venir m’interroger mais vous êtes les bienvenus dans tous les cas ça n’aurait pas changé grands choses mais mieux vaut tard que jamais je suis là. C’est pourquoi je vous dis quand vous regardez ce que nous avons aujourd’hui au niveau des barrages ; nous avons aménagées des hectares de rizicultures. Vous allez a Bagré, vous allez à Bobo, dans le Mouhoun ça été aménagés des gens sont près, il faut l’accompagnement financier. Dans l’agriculture, partout dans le monde est soutenu financièrement ici les paysans sont abandonnés à eux même. Ils n’ont pas de banque agricole, je crois que ce qu’ils sont eus à faire s’est de liquider la banque agricole.

Radio Omega : Mon président, combien vous avez prévu en termes d’accompagnement justement pour ces paysans, en termes de montant dans votre programme ?

Eddie KOMBIGO : nous n’estimerais pas le montant maintenant. Vous savez nous ne faisons pas comme les autres. Nous ne disons pas nous allons mettre 18milliards pour charmer le peuple burkinabè et nous allons apporter si, nous allons apporter ça et au bout de cinq ans on a du mal à faire le programme, le bilan de leur programme. Nous nous sommes de ceux qui allons sur place estimer et nous avons des niches de ressources parce que nous allons augmenter nécessairement le budget de l’État pour une meilleur affectation. Mais, comme vous voyez que la guerre est entrain de détruire quasiment notre budget et de prendre a peu

près le tiers et si non plus du tiers de notre budget au niveau de la défense et de la sécurité. Il faut travailler à ramener la paix dans un premier temps et une fois que la paix est revenue, les fonds qui étaient affectés au niveau de la défense et de la sécurité vont être réaffecter dans les départements de agricultures et dans l’industrie et c’est que nous avons proposé dans notre programme       

Radio Omega : Est-ce que vous promettez à la jeunesse ??   

Eddie KOMBIGO :  beaucoup de choses, beaucoup de choses d’abord dans un premier temps c’est de voir comment réduire le chômage. Nous avons une école qui a passé près de quarante ans, cinquante ans à former  

Radio Omega : en 27 ans de votre mentor 

positif certainement parce qu’il fallait instruire. C’est vrai que nous sommes passe au ministère de l’éducation nationale des années 60 a l’enseignement avec un objectif quantitatif, instruire le maximum de population. On avait à peu près 9 ,10% instruite ; il fallait atteindre le quantitatif qui était d’atteindre 40, 50 ,60 % des burkinabés instruits. Je crois que nous sommes quasiment à 60%. Mais nous au niveau de l’instruction ça dépend de quel niveau n’est pas quand je parle des troisièmes cycles, mais qui sont allées à l’école classique, mais cette école est généraliste. Elle n’est pas professionnalisante de sorte que lorsque vous allez à l’école de primaire, vous allez sortir jusqu’à l’Université vous ne savez rien faire, vous ne connaissais que des théories. Si vous comparez l’école Anglo- saxonne à l’école que nous avons aujourd’hui. Vous ne pouvez pas être ingénieur en faisant l’école du début jusqu’à la fin. Vous faites un certain nombre d’année, un ; deux ; trois années vous allez en stage pratique et vous revenez de sorte que quand vous sortez, vous êtes ingénieur en pont et chaussée, vous avez déjà réaliser plusieurs ponts et chaussée ce qui vous fait un patron parfait Et vous pouvez non seulement rejoindre une société BTP ou crée votre propre société. Quand vous regarder dans le domaine du potentiel que nous avons, aujourd’hui c’est révélé être en exportation. Le domaine minier, au mieux nous avons à peu près 17 mines dont 14 sont vraiment fonctionnels. Mais nous avons un peu partout dans les 45provinces des petites terres d’exploitation artisanales. Au risque de leur vies des gens veulent survivre. Il faut les réunir dix-dix, vingt-vingt, trente-trente et semi- mécanisées leurs productions ce qui va leurs donné une productivité plus croissante en respectant les normes exploitation minière, en respectant l’environnement et avec des revenus pour des locaux. Parmi les 17 sociétés minières il n’y aucune société à capitaux burkinabé, il faut qu’on n’y vive et que l’on ne pense pas que l’exploitation minière est une technologie réserver seulement aux occidentaux. Certes ils sont la technologie mais il faut un transfert de connaissance, il faut une formation donc il faut toucher l’école pour résoudre se problème si non a terme mais immédiatement ce que nous allons faire pour réduire le problème du chômage c’est de semi mécaniser l’orpaillage en les réunissant et vous aller voir qu’ils vont eux même employer des jeunes qui sont sortis. Nous allons travailler à mettre des écoles a termes pour qu’il est au moins 50% d’école technique, scientifique et professionnel. Vous ne pouvez pas avoir une école inadaptée à l’évolution économique de votre pays. Nous avons une économie qui évoluer qui et nous avons une école déplacer qui ne répond pas aux attentes de cette économies. A titre d’exemple je vais vous prendre simplement les mécaniciens qui ont été formé dans les années 80 et qui ont eu la chance sous la révolution d’avoir été envoyé en Allemagne ou Russie et qui on fait mécanique générale, ils sont revenus et qui enseignait au lycée technique et qui gagnait cent, cent cinquante mille tout aux plus deux cent mille Par mois. Avec l’avènement des mines, l’arrivée des mines dans les années 2006 la première mine et la deuxième mine on a souhaiter avoir des mécaniciens qui aujourd’hui son payer à un millions cinq, deux millions. On a plus d’enseignant qu’est ce qu’on fait on laisse tomber ces écoles ça veut dire tout simplement qu’il faut regarder comment notre économie peut évoluer ; comment amener une croissance et former des hommes de qualités, des agents de qualités qui puisse occuper des places. Je reprends un autre exemple, vous avez au Burkina Faso 15 millions de motos importer de partout, il n’y aucune école publique de formation en mécanique motos deux temps ou quatre temps. Supposons que tout simplement ……………. Tout ce qui sont installés comme mécaniciens qui ont appris sur le tas, ils n’ont aucune technologie pour diagnostiquer les motos. Supposons que par ans un million de moto tombe en pannes et qu’on fasse un mauvais diagnostique et que l’on dépense 1000f ça veut dire que chaque mois Ya un milliard de dépenses. Mais comme ces produit, ces pièces ne sont pas fabriquées au Burkina et qu’ils sont importer nous jetons un milliard et en un ans c’est 12miliard c’est le bas niveau si non vous savez que si vous rajouter les véhicules importer ou de seconde main nous dépensons énormément. Il faut repenser a tout cela est-ce que nous sommes obligés de continuer à acheter des véhicules aurevoir la France ou aurevoir l’Europe. Nous pouvons formes nos jeunes à aller dans se sens mais faudrait qu’on casse le complexe du burkinabé à dire « ce n’est pas mon enfant qui ira faire la mécanique parce que là la mécanique ne rapporte pas » il ne s’est pas que la mécanique rapporte plus que vous fonctionnaires, vous agents de communication disons BAC plus 5, les grands journalistes ou moi peut être espère comptable. Peut-être que c’est boulot rapporterons autant que nous avons si non plus que nous ayons. Reprenons encore un dernier exemple, de même que la grillade que nous avons dans les rues, partout vous avez des petites grillades vous les regarder vous pensez que les gens ne gagnent pas, mais ils gagnent pour peu que vous vendiez 100 têtes par jours et que vous réalités 500f par tête. Vous 50.000 par jours en 20 jours vous avez 1millions en 30 jours on ne dira pas 30jours en 25 jours vous avez un millions deux cent cinquante mille. Un député ne gagne pas un millions deux cent cinquante mille. Donc voyez- vous il faut les leur montrer au uns au autres qu’ils faut aller vers les métier qui vous fasse gagner et les donner de rêver s’ils rêvent ; ils casseront le complexe qu’ils ont aller vers des métiers en se te disant moi j’ai fait BAC plus 3 ; moi j’ai fait droit donc je m’entends a avoir un métier dans le domaine e juridique et si le marché est saturé et si le marché d’emploi de juriste es saturée vous ne pouvez que dégagé.

  Radio Omega : Et les femmes ??? 

Eddie KOMBIGO : Bien sûr que ce que je dis c’est aussi bien les femmes et les hommes. Nous ne faisons pas de différence et travaillons à ne pas faire de différence parce que ce qu’un homme peut faire une femme peut le faire moi j’ai eu des moi j’ai eu des sosies D’extradition des ressources humaines ici au Burkina Faso dans le secteur minier, nous avons vu des femmes conduisent des dumpers. Vous imaginez des dumpers, vous faites des allées deux fois  

  Radio Omega : des gros engins 

 Eddie KOMBIGO : voilà un gros engin, on signe que ce sont des métiers l’homme non ! c’est métier homme avec un petit h mais c’est métier d’hommes avec grand H n’importe qui a l’intelligence et qui apprend peut conduire et il y a tellement d’exemple si vous prenez cette maison , le toit la maison a été construite par des maçons qui ont été former su le tas qui fait qu’au bout de quelques temps ne vous étonnées pas d’avoir une fissure . Le toit a été coiffés par des gens, par des ouvriers qui ont appris sur le tas ; la peinture a été poser par des gens qui ont appris sur le tas, le carrelage, la vitrerie, les ouvertures métalliques, en bois, comme en aluminium comme en métalliques par des gens qui ont été formé par le tas vous prenez les caniveaux, La canalisation des gens qui ont été former sur le tas, l’électricités des gens qui ont été formés au tas. Quand vous voyez de cette manière vous voyer pas les conséquences mais un seul exemple que vous voyez l’importance de ce que je dis vous prenez l’ONEA. L’ONEA installe chaque année des millions de kilomètres linéaire de tuyauteries Cette eau que nous gagnons en puisant dans nos barrages et dans nos rivières et traiter chimiquement à un cout assez important. Si ces tuyauteries sont installées par des gens qui n’ont pas été instruits, qui n’ont pas été former et que nous 10% de cette eau. Ces 10% en cours de production se retrouves dans le prix de ventes de l’eau et nous souhaitons faire une politique sociale en diminuant le prix de l’eau et en augmentant l’approvisionnement. On ne peut pas temps que ce n’est pas techniquement et intelligemment réfléchie, planifier et exécuter.     

Radio   Omega : On reviendra en détails donc tous ces éléments, vous prévoyez beaucoup de choses pour les jeunes ainsi que pour les femmes. Mais vous battez campagne dans une contexte difficulté pour le Burkina, la situation sécuritaire ; est ce que vous avez la solution à cette crise sécuritaire que traverse le Burkina ??????  

Eddie KOMBIGO : nous l’avons proposé depuis longtemps, c’est d’ailleurs vous la radio Omega et la chaine oméga, vous n’étiez pas créée en chaine qui aviez dit à mes ……. Le CDP propose la voie diplomatique et donc ils en savent quelque chose. C’est eux qui soutiennent les terroristes ; mais je dis que c’est ridicule de penser qu’un burkinabè peut utiliser le terrorisme pour reconquérir le pouvoir, c’est triste. Nous avons pleuré dans nos cœurs et le président honneur Blaise Compaoré a deux fois de suite écrit une lettre pour proposer à son frère cadet le président Roch Marc Christian Kabore une solution diplomatique afin que les armes se taisent mais malheureusement ça cette main tendue n’a pas été accepter. Nous continuions de vivre cette catastrophe de guerre. Nous avons dit que pour résoudre le problème terrorisme au Burkina il ne faut pas 90 milles solutions. Certes il faut une armée forte, bien équipés et dissuasive c’est ce que nous avions à travers le RSP ……………………. Que nous sachions aujourd’hui, ils ont cassé les RSP, nous l’avons emprisonné la haie du RSP aujourd’hui ; nous avons affecter les militaires du RSP dans d’autre unités. Vous savez c’est une équipe et quand une équipe n’a pas son commandement, son entrainement, il ne peut pas être efficace. Sans penser à relayer, je n’ai pas dit que le RSP est parfait à tous les points de vue mais je sais seulement qu’on ne recrute pas mille trois cents personnes pour assurer la garde d’une personne ça veut dire que le RSP faisaient une autre mission que vous vous ignorez et qu’eux ils savaient. On se souviendra que Isaac Zida lui-même qui était du RSP, après le coup d’état manqué les ……. Se sont lever pour dire il faut supprimer le RSP. Il a dit attention si nous tuons notre chien en disant qu’il est méchant c’est le mouton du voisin qui va venir vous mordre, aujourd’hui même les chèvres, les volailles viennent nous picorer ici sans qu’on ne puisse réagir je pense qu’on doit refaire une armée spécifique qui puisse lutter contre le terrorisme   mais ce n’est pas tous les militaires qui sont formés pour le terrorisme. On peut être militaire mais ne pas être former pour le terrorisme. Ça c’est une unité spéciale, il y a des unités spéciales dans l’armée mais unités spéciales du RSP s’occupait de luter également contre le terrorisme ……………. J’ai eu la chance d’avoir fait 4 mois 8 jours avec certains militaires du RSP en prison, je les écouter, il se relayaient là-bas aux frontières ce qui empêchaient les terroristes de franchir les frontières.    

Radio   Omega : est-ce que ce n’était pas dû aux faites que le président du Faso était l’ami des leaders 

Eddie KOMBIGO : y a eu le putsch, ils nous sont demandes d’aller exposer nos armes à la place. Alors comment un pays peut utiliser ces armes aller exposer comme un trophée de guerre ça veut dire que l’ennemis a également vu qu’en réalité ce que vous pensez être votre force de frappe donc ils n’ont plus besoin d’avoir peur de quoi que se soit c’est pourquoi je dis qu’il faut premièrement une armée forte et dissuasive, bien équipés. Deuxièmement il faut un réseau renseignement que nous avions très fort, très impliquer dans la population qui remonte l’information et qui anticipe sur les attaques. Aujourd’hui, nous constatons que nous faisons une politique de réplique. On a entendu qu’on n’a tiré, qu’on a fait le mal ; on court pour venir sauver vient trouver qu’il y a déjà  les dégâts donc il n’y a pas de renseignements comme il se faisait à l’époque. Et je continu vous avez pose une question et je vous suis dit soyez gentil parce que finalement les population qui nous écoutes veulent comprendre quelle est la politique de Eddie KOMBIGO s’il arrive au pouvoir pour que les armes se taisent et donc je vous demande d’écouter : si nous avons ces réseau de renseignement reconstituer qui remonte la dissipation , qui sont impliquer même dans la population on peut anticiper ,empêcher les terroristes d’agir et nous allons sauver plutôt des vies et la troisième solution c’est la diplomatie . La diplomatie commence d’abord par rechercher savoir qui nous attaque. Je vous suis temps tôt dit que le président Roch Marc Christian Kabore et son gouvernement ne savent pas qui nous attaques ils les qualifient toujours hommes armés non identifiés quand même cinq ans ce n’est pas cinq jours, ce n’est cinq mois. C’est cinq ans de gouvernance on n’est pas capable de nous dire qui nous attaque et pour quelle raison. La voie diplomatique nous amènera à savoir qui nous attaque et pour quelle raison. Si nous savons qui nous attaque et pour quelle raison nous pouvons entamés des négociations. Je suis triste de dire et de l’entendre dire sur les chaines internationales qu’on n’a pas encore pris des otages donc il ne va pas négocier. Vous imaginez ils attendent qu’on fasse quoi ils sont occupés un tiers ou deux tiers de notre territoire et chaque jour on tire et vous dites qu’on na pas encore prit des otages …. C’est triste ! c’est pourquoi je dis la gouvernance que nous subissons aujourd’hui manque de mesures d’anticipation. IL aurait fallu aujourd’hui puisque vous savez aucun burkinabè ne planifie ces attaques et que se n’est pas non plus extrémistes islamiques ou chrétiens qui sont dans les zones même si on a pas envies de nous faire croire  ……………………………… on pense que se sont des peuhls qui nous attaques …………… NON il n’y pas extrémistes peuhl , les terroristes sont arrivés dans zone et sa fait tache d’huile . SI nos jeunes sont assis sans emploi et si on leurs propose quelque petit revendus ils peuvent se laisser emporter donc la quatrième solution cette chercher à valoriser, à mettre en valeur notre 

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